La députée nationale Princesse Dominique Munongo Inamizi élue massivement par les fils et filles de Lubudi est contre toutes attentes victime d’un acharnement de Monsieur Alfred Mwidia wa Ngoy candidat malheureux du patri Dynamiaue Progressiste de l’Opposition , tous de la circonscription électorale de Lubudi dans la province du Lualaba .
En effet proclamée élue avec 5134 voix même des éléments probants démontrent qu’elle a eu plus que ça , l’honorable Dominique Munongo Inamizi a été surprise de constater qu’un dénommé Alfred Wa Ngoy candidat malheureux avec 3466 voix, convoite son siège jusqu’à déclencher une procédure devant la Cour constitutionnelle, siégeant en matière des contentieux électoraux depuis le 5 février dernier.
À y regarder de plus près , certains analystes aguerris y voient une manœuvre dilatoire d’une certaine famille politique et de l’Union sacrée de la nation contre la minorité parlementaire de l’opposition, une cabale qui a été dénoncée par les députés nationaux des regroupements politiques ENSEMBLE et AVANCONS-MS dans une déclaration commune faite mardi 27 février dernier.
Par la même occasion, ces élus avaient constaté une chasse à l’homme organisée contre eux et en appellent à un dernier sursaut du Président de la République en sa qualité de Magistrat suprême, et aux Juges de la Cour Constitutionnelle, afin de sauver la démocratie.
À lire de près la liste des députés nationaux proclamés élus à Lubudi , il est curieux de constater que le candidat malheureux Alain Mwidia a échoué d’attaquer le candidat élu de L’UDPS Alain Kapya qui n’a que 2573 voix pour se diriger vers celle qui a plus de 5000 voix alors que lui n’a que 3000 voix .
S’agit il d’une audace mal placée tendant à provoquer les électeurs de l’honorable Dominique Munongo Inamizi notable connu et reconnu des Bayeke alors que Monsieur Mvidia est un illustre inconnu par les notables de Lubudi ? C’est une question qui vaut son pesant d’or .
Les arrêts attendus de la Cour Constitutionnelle statuant sous pression comme l’a dénoncé l’opposition ne doivent pas consacrer le retour d’un parti État qui veut se constituer sa propre opposition à travers une distribution des sièges parlementaires de manière aléatoire pense un analyste politique.
La rédaction