Grâce aux efforts du Gouvernement provincial du Haut-Katanga que dirige Jacques Kyabula Katwe, la population de Kipushi continue à acheter le sac de la farine de maïs de 25 Kg à 20.000FC, pendant cette période de crise.
Le samedi 17 juin dernier, les deux points de vente notamment la cité du camp militaire et du centre-ville, étaient pour la énième fois, inondés par ce produit de première nécessité, au bénéfice de la population locale, sous la supervision du conseiller de la ministre provinciale de l’économie, Jean-Pierre Pondo.
Occasion faisant le larron, les habitants de cette contrée ont remercié le Gouverneur de province Jacques Kyabula Katwe, pour son assistance, en vendant la farine de maïs à 20.000 FC.
« Nous étions dans la souffrance de manger avec les enfants, nous étions en train de payer la farine à 180.000fc jusqu’à 50.000fc même aujourd’hui. Mais lui il nous a donné la farine à 20.000fc. Que Dieu puisse lui Bénir, qu’il ne cesse pas, qu’il continu en tout cas de penser aussi à cette pauvre communauté de Kipushi qui souffre beaucoup » a indiqué une maman bénéficiaire.
Même son de close pour le chef de cette entité qui a remercié à son tour, l’autorité provinciale pour son assistance.
« Ce que le Gouverneur vient de faire pour cette population de Kipushi qui a trop souffert, qui a trop attendu. C’est une joie pour elle, et aussi une joie pour moi qui dirige cette entité. Nous sommes très contents de son geste. Qu’il ne cesse pas, qu’il continu à le faire » a fait savoir le dirigeant de cette entité »
Et d’ajouter :
«Chez nous ici c’est un peu difficile, l’agriculture se pratique en Zambie. Comme il n’y a pas assez des terres ici, les congolais vont en Zambie et ils cultivent, mais ils amènent les produits ici. Pour nous ici, ce qui manque c’est les intrants, si le Gouverneur peut penser à nous aider avec les intrants, ça va aller» a dit la population de la commune minière » a-t-il conclu.
Le Gouvernement provincial du Haut-Katanga promet de poursuivre la vente de la farine de maïs de 25 Kg à 20.000FC, jusqu’à stabiliser le prix de cette denrée alimentaire qui a fait l’objet de spéculation il y a peu.
NICOLE MBALAY