Lors de son intervention lors de l’ouverture du Forum du secteur privé de l’AGOA (African Growth and Opportunity Act) qui a eu lieu mercredi 24 juillet 2024 à Washington, le chef de la diplomatie américaine, ANTONY BLINKEN, a annoncé que son pays déjà débloqué 3 milliards de dollars pour la construction du corridor de « Lobito » l’Angola ».
Ce corridor relie l’Angola, la Zambie et la République démocratique du Congo, grâce à des investissements à fort impact dans les installations portuaires, les ponts, les lignes ferroviaires, le réseau routier, l’accès à l’internet à haut débit, l’énergie propre et l’agriculture tous conçus pour débloquer la croissance dans des secteurs clés le long d’une voie de communication économique majeure, a souligné ANTONY BLINKEN.
« Nous avons contribué à hauteur de 3 milliards de dollars à l’expansion du corridor de Lobito, et j’ai pu constater les résultats de mes propres yeux il y a quelques mois lors de ma visite en Angola. Ce corridor relie l’Angola, la Zambie et la RDC grâce à des investissements à fort impact dans les installations portuaires, les ponts, les lignes ferroviaires, le réseau routier, l’accès à l’internet à haut débit, l’énergie propre et l’agriculture tous conçus pour débloquer la croissance dans des secteurs clés le long d’une voie de communication économique majeure » a expliqué ANTONY BLINKEN.
Et d’ajouter :
« Ensemble, nous continuerons de travailler en prenant pour guide l’idée qui a sous-tendu la mise en œuvre de l’AGOA il y a tant d’années, des idées qui sont toujours au cœur de notre vision de l’avenir : construire des sociétés plus équitables, plus prospères, plus stables et porteuses de plus d’opportunités pour tout le monde. C’est notre but, c’est notre objectif. L’AGOA est un outil essentiel pour nous aider à l’atteindre, et je vous suis reconnaissant de votre soutien et du travail que vous accomplissez tous dans ce sens » Poursuit-il.
Notons que, ce Forum du secteur privé de l’AGOA 2024 s’est focalisé sur les possibilités du renforcement des partenariats commerciaux et d’investissement entre les États-Unis et l’Afrique.
HERVE KABWATILA