Dans une démarche de renforcement des capacités et de reconnaissance des métiers du secrétariat, Lignes Maritimes Congolaises SA (LMC SA) a participé activement à une importante séance de travail organisée par l’Association Nationale des Entreprises Publiques (ANEP).
Tenu le vendredi 5 septembre au siège de l’ANEP, cet atelier a réuni les secrétaires, assistants et attachés de direction des entreprises publiques autour d’un thème central : «Le rôle stratégique du secrétariat au sein de l’entreprise publique». Une occasion pour les participants d’approfondir leur compréhension du métier et d’envisager une coopération renforcée au niveau national et continental.
Parmi les moments clés de la journée, Mme Adhèle SAMBI, cadre aux Ressources Humaines de l’ANEP, a présenté la Fédération Africaine des Professionnels du Secrétariat et Assistanat de Direction (FAPROSAD), fondée en 2018 à Ouagadougou. Cette organisation panafricaine ambitionne de professionnaliser davantage la filière, d’harmoniser les formations, et de porter la voix des professionnels du secrétariat sur la scène internationale.
De son côté, Mme Véronique MOLO, secrétaire de direction à la SONAHYDROC, a mis en lumière le Réseau National des Assistants et Secrétaires de Direction (RENASAD), structure de référence au niveau national. Elle a été suivie par Mme Évelyne KABWIKU, assistante du Directeur Général de la même entreprise, qui a exposé les axes d’action du réseau : défense des droits professionnels, organisation de formations continues et collaborations multisectorielles.
LMC SA, représentée par son personnel de secrétariat, a salué cette initiative, la considérant comme un pas concret vers la revalorisation des fonctions de soutien administratif, souvent sous-estimées mais pourtant cruciales au bon fonctionnement des institutions.
L’événement s’est clôturé sur une photo de famille réunissant tous les participants, image forte d’une profession qui prend de plus en plus conscience de son rôle stratégique dans le développement des entreprises publiques congolaises.
La rédaction