Le Président de l’Assemblée nationale, le Professeur Vitale Kamerhe à procédé ce lundi 15 septembre 2025 à l’ouverture de la session de septembre qui est essentiellement budgétaire, par son traditionnel discours marqué par un véritable mea-culpa face aux accusations lui porter par une fronde des députés nationaux.
Parlant de la petition, , Vitale Kamerhe inscrit cela comme étant un exercice parlementaire légitime qui témoigne de la vitalité de la démocratie.
« Il me semble qu’à propos de rappeler que cette initiative devrait être reconsidérée à la lumière des avancées notables enregistrées dans la prise en charge des principales préoccupations soulevées et aussi aux regards du contexte particulier que traverse notre pays” a-t-il dit
Et d’ajouter :
« Ces échanges ont permis d’élever des motifs d’inquiétude et de constater les avancées notables à l’Assemblée, d’avoir pris en charge les préoccupations soulevées par les sujets. Une résolution plus complexe sera faite dans huit jours, et j’espère avec le concours actifs des honorables députés pétitionnaires. Je voudrais ici saluer l’attitude républicaine des honorables députés nationaux, y compris certains parmi les pétitionnaires qui ont manifesté une vraie volonté de préserver la stabilité de nos institutions, de renforcer la cohésion au sein de l’Assemblée nationale et de resserrer les rangs et les commandements civils de nos forces armées. » S’est-il exprimé
Et de présenter ses excuses “S’il y en a parmi vous qui se sont sentis froissés, heurtés ou dérangés de quelque manière que ce soit par ma conduite ou mes propos, qu’ils daignent accepter l’expression de mes regrets les plus sincères, et j’implore leur pardon”
Enfin le président de la chambre basse du parlement, à rappeler les élus nationaux que, le peuple attend d’eux une action motivée par le plus désire de répondre à ses priorités parmi lesquelles, la restauration de la paix et de l’autorité et de l’État, le renforcement de son pouvoir d’achat et la fourniture des services sociaux de base.
JAMES KABWE