Le porte-parole des forces armées de la République Démocratique du Congo, le général Sylvain Ekenge a dans un point de presse ce samedi 22 novembre, donné des éclaircissements nécessaires sur les récentes arrestations des généraux et officiers supérieurs dont l’ancien chef d’état major général, le général Christian Tshiwewe.
Dans sa communication, il affirme que tous ces généraux et officiers interpellés sont assignés à résidence surveillée pour des faits portant atteinte à la sûreté de l’État et sont sous le coup de l’instruction préjuriditionnelle.
« C’est vrai, des officiers sont interpellés, oui c’est vrai. Mais ils sont interpellés pour des faits hautement répréhensibles », a déclaré le général-major Sylvain Ekenge, porte-parole des FARDC
Pour le coordonnateur nationale de la CNDH qui à pris part au point de presse, tous ces officiers sont en vie et visiter par un médecin contrairement jaux rumeurs faisant état de leur assassinat.
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«Nous avons rendu visite à ces officiers, tous alors, parce que nous avons reçu des allégations qu’ils sont portés disparus, zigouillés. Ils sont en vie, en bonne santé. Les médecins les visitent», a dit Paul Nsapu, président de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH),
Par ailleurs. l’armée dénonce les attaques à répétition de ses positions par la rébellion malgré la signature des accords de Doha et de Washington et l’exigence du cessez-le-feu,
Cette attitude qu’il a qualifiée de « va-t-en-guerre » expose, selon lui, les populations de cette partie du pays aux aléas de la guerre. Face à cette situation, le porte-parole de l’armée a appelé les médiateurs dans les pourparlers de Doha et de Washington à prendre des mesures qui « s’imposent ».
JAMES KABWE
