A travers un communiqué publié ce samedi 14 décembre 2024 sur son site, le Royaume-Uni a augmenté son soutien aux besoins humanitaires et à l’épidémie de la maladie MONKEYPOX en République démocratique du Congo (RDC), avec un financement de 4,4 millions de livres alloués à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Le Royaume-Uni note que ce financement de 4,4 millions de livres alloués à l’OMS va permettre à la République démocratique du Congo de résoudre le problème dans le secteur de la santé publique notamment MONKEYPOX et l’épidémie de la cholera.
« Le Royaume-Uni augmente son soutien aux besoins humanitaires et à l’épidémie de MPOX en RDC, avec un financement de 4,4 millions de livres alloués à l’OMS. Les fonds aideront l’OMS et ses partenaires, dont l’OIM, à renforcer les systèmes de surveillance, à améliorer la capacité des laboratoires pour renforcer les tests, à élaborer des mesures de prévention et de contrôle des infections, à soutenir le traitement médical des patients et à améliorer la capacité et la coordination en matière de santé aux frontières de la RDC. » Peut-on lire sur leur communiqué dont une copie exploitée en ce jour par la rédaction de FOXTIME.CD
Et d’ajouter :
« Le Royaume-Uni appuie également des mesures renforcées pour prévenir l’exploitation, les abus et le harcèlement sexuels dans trois provinces appuyées par ce financement. Ce soutien s’appuie sur l’aide britannique de 4,6 millions de livres sterling déjà accordée à l’UNICEF pour la lutte contre le choléra et la MPOX en RDC. Jusqu’à présent, ce financement a déjà permis de créer 11 centres de traitement de MPOX et d’atteindre au moins 1,5 million de personnes dans les provinces de la RDC avec des informations essentielles pour les aider à se protéger eux-mêmes ainsi que leurs communautés contre la MPOX. » Poursuit-il
Par la même occasion, le Royaume-Uni souligne par ailleurs que ce financement pourrait être immédiatement affecté les efforts de vaccination et de prévention des maladies dans le pays pour lutter efficacement contre cette épidémie.
HERVE KABWATILA