Le Président de la plateforme politique dénommée «Dynamique Progressiste Révolutionnaire» en sigle (DYPRO) Me Constant Mutamba, a tenu ce vendredi 25 août 2023 une conférence de presse au quartier général de cette structure à Kinshasa.
Cette activité a tourné essentiellement autour de l’évolution du processus électoral, ainsi que les perspectives politiques de cette plateforme de l’opposition républicaine.
S’agissant de l’évolution du processus électoral, Constant Mutamba a fait savoir que la DYPRO a réussi à aligner plus de 420 candidats pour la députation nationale, dont 406 ont été validés par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
«La conférence de presse de ce jour s’articule essentiellement autour de l’évolution du processus électoral, ainsi que nos perspectives politiques. S’agissant de l’évaluation du processus électoral, nous tenons à vous rappeler que la DYPRO a réussi à aligner plus de 420 candidats pour la députation nationale, dont 406 ont été validés par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Et plus de 15 candidatures de la DYPRO ont été déclarées irrecevables par la CENI, nous avons saisi la Cour Constitutionnelle et nous pensons récupérer ces 15 candidatures parce qu’il y avait des erreurs matérielles» a dit le Président de la DYPRO Me Constant Mutamba.
Au sujet de l’élection présidentielle, cette plateforme de l’opposition républicaine informe qu’elle sera en conclave ce mercredi 30 août 2023, pour choisir leur candidat à la magistrature suprême.
« Il nous faut donc un candidat de la rupture, un candidat qui va fédérer toutes les aspirations de la majorité de notre peuple. La DYPRO va aligner son candidat Président de la République. Nous allons dévoiler le nom de ce candidat le mercredi 30 août 2023, à l’issue du Conclave National Electoral » a-t-il fait savoir.
Un autre temps fort de cette activité, était le lancement de la campagne de collecte des fonds pour la caution du candidat Président de la République, la DYPRO cherche à mobiliser 50 millions $ pour battre le régime actuel aux prochaines élections.
BLAISE BAYOMBO