Lors du lancement de l’Examen d’État édition 2024-2025, ce lundi 28 juillet 2025, au collège Kivuvu à Bandundu-ville, dans la province de Kwilu, dans l’ouest de la République démocratique du Congo, le vice-ministre de l’Éducation nationale tient à remercier le président de la République, Félix, et également à exhorter les élèves finalistes à ne pas tricher.
« Je tiens donc à remercier le Président de la République, champion de la gratuité de l’enseignement, qui ne cesse d’améliorer la qualité de l’enseignement. Je vous exhorte, chers élèves, à ne pas regarder votre voisin, car il n’y a qu’une question pour un élève », a déclaré Jean-Pierre Kezamudru, vice-ministre de l’Éducation nationale.
De l’autre côté, Jean Marie Mwayesi, inspecteur provincial à l’éducation nationale dans la ville de Bukavu, au Sud-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo déclare que, un total de 44355 candidats est attendu à l’édition 2024-2025 de l’Examen d’Etat. Sur ce nombre, 50,2% sont des filles.
Par ailleurs les candidats finalistes de différents établissements éducatifs déclare d’être prêt d’affronter les épreuves.
« Je me suis déjà préparée, je viens aussi de récupérer mon macaron. Et aujourd’hui, je vais devoir prouver que j’ai bien assimilé les matières apprises et on s’est également préparé en conséquences », a déclaré Nadine Matanda, candidate finaliste de l’école catholique Sainte famille.
« Pour moi, c’est aussi comme l’examen que nous faisons également à l’école. Il n’y a rien de difficile, je n’ai même pas peur pour passer ces épreuves car, j’avais pris mon temps à la maison de bien revoir mes notes »a dit Hornella Ngalula, candidate finaliste de l’école Dibasana de la commune de Lemba, dans le centre de Kinshasa.
Sied de noter que la ministre de l’éducation nationale Raissa Malu lors de la cérémonie du lancement à relever que, le Contexte sécuritaire fragile dans certaines zones, contraintes budgétaires, conditions logistiques exigeantes autant d’obstacles qu’ils ont su surmonter collectivement, grâce à l’engagement de chacun.
GRACE DIOMI