Ce lundi 28 juillet 2025 marque le début de la 58ème session de l’Examen d’État en République Démocratique du Congo, un événement important qui sanctionne la fin du cycle secondaire pour des milliers d’élèves à travers le pays. Selon la ministre de l’Éducation nationale, Nom de la ministre, ce sont au total 3.165 centres d’examen qui ont été mis en place, dont 15 situés hors des frontières de la République.
L’Examen d’État, qui se déroulera sur une période de quatre jours, est un moment déterminant pour les élèves, leur permettant d’obtenir leur diplôme de fin d’études secondaires. La ministre a souligné l’importance de cet examen pour l’avenir académique et professionnel des jeunes Congolais. « Cet examen est une étape essentielle dans le parcours éducatif de nos élèves. Nous avons mis en place toutes les mesures nécessaires pour garantir son bon déroulement », a-t-elle déclaré.
Les autorités éducatives ont également pris des dispositions pour assurer la sécurité et le bon fonctionnement des centres d’examen. Des équipes d’encadrement seront présentes dans chaque centre pour veiller au respect des règles et à la transparence des épreuves.
Les élèves, accompagnés de leurs parents, se sont montrés à la fois anxieux et déterminés à réussir cet examen. « Nous avons travaillé dur toute l’année, et nous espérons que nos efforts seront récompensés », a confié un élève de Kinshasa.
Cette session de l’Examen d’État est particulièrement significative, car elle intervient dans un contexte où le système éducatif congolais fait face à de nombreux défis, notamment en matière d’infrastructures et de ressources pédagogiques. Les résultats de cet examen seront scrutés de près, tant par les autorités que par les parents et la société civile, qui espèrent une amélioration continue de la qualité de l’éducation en République Démocratique du Congo.
Les résultats de l’Examen d’État seront publiés dans les semaines suivant la fin des épreuves, et les élèves pourront ainsi connaître leur sort et envisager leur avenir académique avec plus de clarté.
HERVÉ KABWATILA