Des sources concordantes affirment la presence des militaires des Forces Armées de la République Démocratique du Congo(FARDC), dans la ferme Futuka de l’opposant Moise KATUMBI, qui fait l’objet depuis vendredi 25 avril, dernier d’une perquisition.
Selon les témoins sur place, la ferme a été assiégée depuis deux jours par un nombre important des éléments des FARDC qui finalement ont accéder dans la concession ce samedi sans aucun document officiel, mettant en mal les jeunes footballeurs de l’académie Katumbi et Don Bosco qui y résident et quelques travailleurs
Cette série des perquisitions systématiques qui avaient débuté d’abord chez l’ancien Président Joseph Kabila et finalement chez Katumbi soupçonné d’être impliqué dans des activités militaires clandestines et de collision avec les rebelles du M23/ADF.
Les autorités congolaises justifient ces perquisitions par la nécessité de rechercher du matériel militaire présumé volé ou dissimulé.
Conduisant à une fouille des entrepôts, conteneurs et véhicules présents sur les lieux.
Des perquisitions systématiques sont opéré une équipe conjointe de l’ex-DEMIAP (Détection militaire des activités anti-patrie) et de l’ANR (Agence nationale de renseignements) dans plusieurs propriétés de l’ancien président de la République Joseph Kabila Kabange, notamment au Parc de la Vallée de la Nsele communément appelé Kingakati situé à Kinshasa, et l’immeuble Hypnose de Lubumbashi, soupçonné d’être impliqué dans des activités militaires clandestines et de collision avec les rebelles du M23/ADF.
Les autorités congolaises justifient ces perquisitions par la nécessité de rechercher du matériel militaire présumé volé ou dissimulé.
Conduisant à une fouille des entrepôts, conteneurs et véhicules présents sur les lieux.
La famille de l’ancien président avait dénonçait l’acharnement et la violation de propriété privée. Tout en rappelant que celui-ci (Joseph Kabila,) en tant qu’ancien chef de l’État et sénateur à vie, bénéficie de privilèges et protocoles qui devraient être respectés.
Ces fouilles sont faites après l’annonce du retour de Joseph Kabila au pays par la partie Orientale précisément à Goma zone occupée par les rebelles du M23/AFC, une annonce qui a créer un tôlé dans l’opinion nationale qui donne raison aux accusations du président de la République contre son prédécesseur.
Certains observateurs y voient une manœuvre politique ayant conduit à l’exil de plusieurs membres de la famille Kabila alors qu’ils sont protégé par la loi.
JAMES KABWE