Mère de deux (2) enfants dont une fille et un garçon, Michèle KINGWAYA ALEBE est licenciée en journalisme « Option Politique Extérieure », produit de l’Institut Facultaire des Sciences de l’information et de la Communication ‘’IFASIC’’ en sigle.
Après avoir fini avec ses études supérieures à l’IFASIC, cette femme dynamique et exceptionnelle a commencé toute jeune à la chaîne de télévision CEBS à Kinshasa, capitale de République démocratique du Congo, comme animatrice d’une émission à la Radio.
« Je suis Michèle KINGWAYA ALEBE, Journaliste de formation, en option journalisme politique extérieure. Je suis un Produit de l’IFASIC. Mère de deux enfants. Une fille et un garçon. concernant mon parcours professionnel, j’ai commencé toute jeune à la chaîne de télévision CEBS comme animatrice d’une émission à la radio et quelques années après, je suis passée à télévision en tant que présentatrice du journal télévisé et de l’émission maxi connaissance. J’ai évolué à cette chaîne pendant au moins une décennie » a indiqué Michèle KINGWAYA.
Juste après son passage à la chaine de télévision CEBS, Michèle KINGWAYA ALEBE a intégré l’Office National de l’Emploi (ONEM) jusqu’à ce jour, dont elle occupe le poste de Responsable de communication.
« Après CEBS, j’ai intégré l’Office National de l’Emploi jusqu’à ce jour dont j’occupe le poste de Responsable de communication. En dehors de ça, je suis éditrice de «Le Zénith Magazine » et initiatrice de la conférence Zénith Woman Up. Un cadre propice pour le réseautage féminin en partageant certaines expériences et promouvoir le leadership féminin » a-t-elle souligné.
Mais quel est son rôle en tant que responsable de la communication de l’ONEM ? Michèle KINGWAYA explique.
« Mes taches en tant que Responsable est de fixer les orientations stratégiques de communication au sein de mon entreprise en matière de visibilité, assurer le rôle de conseil auprès de la Direction Générale sur l’évolution de l’identité. J’aime être en compagnie de mes proches. J’encadre aussi les jeunes au niveau de ma paroisse Sacré Cœur » précise le numéro un de la communication de l’ONEM.
Et de renchérir :
« Savoir s’organiser simplement. Lorsque je rentre chez moi, j’oublie le travail. Je m’occupe de mes enfants, je vois ce qui était fait et ce qui n’était pas fait.je m’organise à rentrer vite afin de parler avec les enfants. Parler un peu de ce qui s’est passé dans la journée, à l’école » a-t-elle fait savoir.
En marge de la Journée Internationale des Droits de la Femme célébrée le 08 mars de chaque année, Michèle KINGWAYA a demandé à la femme congolaise de se faire démarquer partout où elle se trouve.
« La femme congolaise doit arriver à se faire démarquer. Aimer et être sûre d’elle-même de tout ce qu’elle fait, donc du combat qu’elle mène chaque jour dans son milieu, monde. Être capable de dire non lorsque les choses ne vont pas bien » a conclu cette femme exceptionnelle.