Claude Bahizire, coordinateur provincial du Programme national de communication pour la promotion de la santé (PNCPS) au sein de la Division provinciale de la santé (DPS) du Sud-Kivu, a annoncé ce mercredi 14 mai 2025 que depuis le début de l’année 2025 plus de 9 488 cas de monkeypox ont été enregistrés dans la province du Sud-Kivu dont 13 décès.
Depuis le début de l’année 2025, la province a enregistré plus de 9 488 cas de Mpox, dont 8 500 guérisons et 13 décès. La zone de santé la plus touchée reste celle de Miti Murhesa, qui compte à elle seule 1 200 cas. Bahizire a souligné que « il y a plus de deux semaines que nous n’avons pas enregistré de décès. Cela montre que la gestion de l’épidémie se déroule comme prévu.
Bahizire a noté que la sensibilisation commence à porter ses fruits, car les habitants commencent à reconnaître les symptômes et à signaler rapidement les cas suspects. Cette réactivité facilite la prise en charge des patients et contribue à la réduction des cas graves.
« La province a recensé plus de 9 488 cas, dont 8 500 guérisons et 13 décès. La zone de santé la plus touchée reste celle de Miti Murhesa, qui compte à elle seule 1 200 cas. Il y a plus de deux semaines que nous n’avons pas enregistré de décès. Cela montre que la gestion de l’épidémie se déroule comme prévu. Tout dépend aussi de la volonté de la population à s’impliquer dans la lutte contre la Mpox. La population commence à reconnaître les symptômes et à signaler rapidement les cas suspects, facilitant ainsi la prise en charge. En mars 2025, 1 207 patients sur 1 230 ont été déclarés guéris, tandis que quatre décès, tous chez des enfants de moins de cinq ans, ont été enregistrés. » A expliqué Claude Bahizire, coordinateur provincial du Programme national de communication pour la promotion de la santé (PNCPS) au sein de la Division provinciale de la santé (DPS) du Sud-Kivu.
En mars 2025, un bilan positif a été établi : sur 1 230 patients, 1 207 ont été déclarés guéris. Cependant, la lutte contre la Mpox n’est pas sans défis, car quatre décès ont été enregistrés, tous chez des enfants de moins de cinq ans. Ce triste constat rappelle l’importance de la vigilance et de la prévention, notamment auprès des populations les plus vulnérables.
Claude Bahizire a conclu en appelant à la solidarité et à la responsabilité collective pour continuer à freiner la propagation de la maladie. La collaboration entre les autorités sanitaires et la population est essentielle pour surmonter cette épidémie et protéger la santé de tous.
HERVE KABWATILA