Un nouveau cadre organique ainsi que des structures organiques révisées de l’administration du ministère de la Communication et Médias ont été officiellement remis lundi 13 mai 2025 à Kinshasa par le vice-Premier ministre de la Fonction publique, Jean-Pierre Lihau, au ministre sectoriel, Patrick Muyaya. Cette remise s’inscrit dans le cadre de la réforme de l’administration publique en République Démocratique du Congo, visant à moderniser et à rendre plus efficace le fonctionnement des institutions publiques.
Lors de la cérémonie de remise, le ministre Patrick Muyaya a exprimé sa satisfaction quant à cette avancée significative. Il a souligné que ce nouveau cadre organique représente une étape cruciale dans la transformation de l’administration publique. « Cette réforme permettra à l’administration de notre ministère de remplir efficacement ses missions, tout en respectant les orientations stratégiques du gouvernement », a-t-il déclaré.
Le service de communication du ministère de la Fonction publique a précisé que cette initiative vise à améliorer la performance des services publics, à renforcer la transparence et à favoriser une meilleure interaction entre l’administration et les citoyens. Le vice-Premier ministre Lihau a également insisté sur l’importance de cette réforme pour le développement du pays, en affirmant que des administrations publiques efficaces sont essentielles pour répondre aux besoins croissants de la population.
Cette remise de cadre organique s’inscrit dans un processus plus large de réforme de l’administration publique, qui a pour objectif de moderniser les structures étatiques et d’améliorer la qualité des services offerts aux Congolais. Les prochaines étapes de cette réforme incluront des formations pour le personnel administratif et la mise en place de mécanismes d’évaluation des performances.
La mise en œuvre de ces nouvelles structures est attendue avec impatience, tant par les acteurs du secteur que par les citoyens, qui espèrent une administration plus réactive et à l’écoute de leurs préoccupations.
HERVÉ KABWATILA