Ce mardi 4 février 2025, JEAN-JACQUES WONDO, un citoyen belge condamné à mort en République Démocratique du Congo, a été libéré après une décision inattendue de la cour d’appel. Sa condamnation, qui avait suscité de vives réactions tant en Belgique qu’à l’international, soulève des questions sur les relations diplomatiques entre Bruxelles et Kinshasa.
JEAN-JACQUES WONDO, expert militaire belge, avait été arrêté en mai 2024 après une tentative de coup d’État à Kinshasa, où il était accusé d’être l’un des cerveaux de l’opération. En première instance, il avait été condamné à mort pour association de malfaiteurs, une décision confirmée par la cour d’appel militaire en janvier 2025, provoquant une onde de choc en Belgique.
La libération de WONDO a été accueillie avec soulagement par sa famille et ses proches, qui avaient exprimé leur détermination à prouver son innocence. Les autorités belges, y compris le ministre des Affaires étrangères, ont salué cette décision, la qualifiant de victoire pour les droits de l’homme et la justice.
Cette libération pourrait marquer un tournant dans les relations entre la Belgique et la République Démocratique du Congo, qui avaient été tendues suite à la condamnation de WONDO. Des discussions sont attendues entre les deux pays pour renforcer la coopération en matière de droits humains et de justice.
La libération de JEAN-JACQUES WONDO ce mardi 4 février 2025 représente non seulement un soulagement personnel pour lui et sa famille, mais également un moment crucial pour les relations belgo-congolaises. Les événements à venir détermineront si cette décision ouvrira la voie à une meilleure compréhension et collaboration entre les deux nations.
HERVE KABWATILA