Désormais un jeu de ping-pong se joue entre l’hôtel de ville de Kinshasa ainsi que le commissariat provincial de la police nationale congolaise (PNC), après la perte déclarée par le général Sylvano Kasongo des données d’enregistrement de tous les véhicules et motos évoluant dans le secteur de transport en commun.
Après cette sortie fracassante du commissaire provincial de la police ville de Kinshasa, le ministre provincial en charge des transports Amos Mbokoso sort de son carquois et s’inscrit en faux face aux déclarations (sans soubassement) du général, et trouve que sa sortie été juste pour créer la psychose au sein de la population.
«Je jure et je confirme que le Général Kasongo a menti, qu’il vienne rectifier ça… ça sortie n’engage que lui… il connait ses intentions, et il est mieux placé pour apporter lumière, car son acte à créer la psychose dans la ville de Kinshasa », a-t-il répondu au micro de nos confrères de TopCongo
Et de poursuivre
«Nous sommes dans une période où les gens sabotent la situation politique du pays…, et ce qu’il dit est d’une gravité extrême… » A dit Amos Mbokoso ministre provincial des transports
A la question de savoir que les faits semblent avoir donné raison aux propos du général, car il y a des véhicules qui opèrent sans être inquiété alors qu’ils sont recenser, le ministre répond :
« Aucun véhicule arrêter ne figure dans notre répertoire, aucun chauffeur arrêter ne figure dans le répertoire de la coopération des chauffeurs… les données dont le général fait allusion sont suivi en temps réel sur sa machine y compris chez nous, donc s’il dit le contraire je ne sais pas si c’est pour saboter l’action du gouvernement ou de la sécurité… car même accompagner les agents du ministère des transports sur le terrain pour le recouvrement, il a ordonné à ses troupes de ne plus le faire comment nous pouvons déduire ça ?…. si vous observer un véhicule sur 4 est identifier alors que la police est là» Ajoute-t-il
Contexte
Le général Sylvano Kasongo commissaire provincial de la police ville de Kinshasa, avait déclaré dans sa communication faite au stade des martyrs à ses troupes, de la disparition à l’hôtel de ville, de la base des données d’enregistrement des taxis, taxis-bus, taxis-motos, données d’une importance capitale dans la sureté de la ville surtout pendant cette période instable sur le plan sécuritaire.
A son temps, la ville de Kinshasa avait procédé à l’enregistrement de tous les véhicules de transport en commun les attribuant un code numérique et numéro d’identification en vue de lutter contre l’insécurité routière.
James Kabwe